Marseille
Ce samedi, c’est la finale de la Ligue des Champions, où l’Inter de Milan affrontera le club français - mais parisien - du PSG. Peur et angoisse à Marseille, la seule ville française à avoir remporté la ligue (pour l’instant).
La semaine dernière, on découvrait un youtubeur faire son beurre et son buzz en filmant des visites de points de deal. Plutôt que de s’arrêter sur cette image stigmatisante, Marseille propose de montrer les trésors des siens.
L’école de cinéma Kourtrajmé s’est vu refuser une subvention par la région PACA. Ce n'est pas une question de coupe budgétaire, mais d'écriture inclusive.
Tomber, recommencer, tomber, recommencer, et ça environ 153 fois avant d’enfin réussir à faire la pirouette correctement… C’est la mentalité de ces skaters ukrainiens, capturés par l’appareil de Robin Tutenges à travers des paysages de ruine. De Dnipro à Kharkiv, ou ailleurs, la jeunesse a fait du skate un exutoire vital, un acte de résilience et de liberté face à l’invasion russe.
David Hockney à la Fondation Louis Vuitton, Dennis Morris à la MEP, ou encore Nicola L. à Nantes et tant d'autres... Sont prêts à nous en mettre plein la vue et nous remplir les oreilles en ce début d'année 2025 qui promet d'être riche en culture!
Pas de Grande Tournée Radio Nova, sans étape marseillaise, c’est inscrit dans le marbre. L'édition 2024 n'y déroge pas et convie Glodie B, Silya Faya et notre correspondant Baba Squaaly derrière les platines.
En 1977, à Londres, punks et rastas caribéens se croisaient, se fréquentaient, et s'influençaient mutuellement. Ce lien se retrouve dans le son du Oai Star, car à Marseille, le punk rock et le reggae s'entremêlent.
Il n'est pas mort mais a droit a son exposition retrospective... à Marseille
Une belle exposition en ce moment à Marseille
Le 15 septembre à La Belle de Mai avec Izïa, Amadou et Mariam ou Rob Hopkins…
Le camping-car enflammé de Radio Nova se pose à Marseille sur la Place Léon Blum au Kiosque à Musique.
2023 n’y fera pas exception, Radio Nova se doit, comme chaque année, de continuer de vous émerveiller, en allant à votre rencontre pour vous faire danser partout et tout l’été.
À la mi-mai, à pratiquement un mois, jour pour jour du lancement de la 25ᵉ édition de Marsatac, les bureaux d’Orane, la structure marseillaise aux commandes du festival depuis sa première édition, est déjà en pleine ébullition. Ça entre. Ça sort. Ça échange. Les infos circulent sans stress même quand la fin de journée s’annonce. Il est 18h, Béatrice Desgranges, la Directrice générale du festival passe d’une pièce à une autre, s’assoie et pose deux tablettes de chocolat sur la table. La présentation de cette nouvelle édition en plein air et diurne peut démarrer.